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Le volontariat contribue souvent au bien-être et au sentiment d’utilité, mais il peut aussi fragiliser la santé mentale lorsqu’il s’exerce sous pression ou sans reconnaissance. Dans un contexte où les enjeux de santé mentale deviennent centraux, il est essentiel d’interroger les conditions dans lesquelles l’engagement reste une source d’équilibre plutôt qu’un facteur d’épuisement.

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